Quand le préjudice esthétique temporaire dépasse le visible (l’intégration des troubles du langage)
La notion de préjudice esthétique, traditionnellement associée à l’altération de l’apparence physique, connaît une évolution jurisprudentielle. Une décision récente ouvre la voie à une conception élargie, intégrant des atteintes moins visibles mais tout aussi perceptibles par autrui. En l’espèce, à la suite de la pose d’implants et de bridges, une patiente a présenté des troubles…

